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Avec Artempo, l’impression 3D se met aussi au vert !

Étude de cas Le 13 novembre 2023

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L’impression 3D se met aussi au vert !

Souvent associé au plastique, l’impression 3D est bien plus complexe et variée que ce que l’on peut penser. Précieuse pour les pièces sur mesure en volume, nous avons régulièrement recourt à cette technique de production pour nos trophées et tombstones. Il était donc primordial de pouvoir trouver des solutions d’impression 3D durables et respectueuses de notre environnement. Et c’est chose faite car les matériaux utilisés pour l’impression 3D ont beaucoup évolué ces dernières années. L’impression 3D que nous utilisons aujourd’hui chez ARTEMPO est dorénavant issue de matières organiques. Nous utilisons de l’impression 3D à base de coquilles d’huître, de copeaux de bois, d’amidon de maïs ou encore de marc de café ! Les matériaux utilisés sont ainsi naturels, durables et recyclables.

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Les filaments recyclés que nous utilisons sont produits à partir de déchets de plastique, broyer et transformer en granulés. Ces mêmes granulés sont par la suite chauffés et extruder pour être transformés en filament.

Plusieurs procédés existent à ce jour pour l’impression 3D. Pour chacun d’entre eux, la pièce est d’abord modélisée dans un logiciel de CAO puis préparé dans un programme de découpage de tranche ou slicer avant d’être envoyée sur une machine pour être construite.

L’un des procédés les plus répandus reste l’impression par dépôt de fil dit FDM. Le filament, sous forme de bobine, est chauffé via une tête d’extrusion et ensuite déposé sur un plateau chauffant par couches successives afin de construire précisément la pièce en volume. Cette technique nous permet de développer des trophées et tombstones dans un large choix de matériaux naturels et recyclables.

Une autre technique utilisée par Artempo est l’impression par liage de poudre ou 3DP. Ce procédé se résume à placer sous forme de couche étalée la poudre minérale sur un plateau puis un liant vient solidifier la matière aux endroits voulus. Une seconde étape consiste à déposer directement de la couleur sur la poudre qui a été préalablement durcie. L’excédent de poudre est réutilisé pour éviter les déchets.

Finalement, deux autres matériaux sont régulièrement utilisés : le PA11 HP qui est un matériau en poudre issu de graine de ricin, bio-sourcé et doté d’une solidité exceptionnelle. Le rendu de l’impressions des pièces est monochrome. Enfin, la poudre minérale permet d’imprimer des pièce multicouleurs dans une matière composée à base de Gypse : est un sulfate de calcium déshydraté, similaire au plâtre donc recyclable.

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